Quand le temps devient quantique : vers une nouvelle physique
On peut supposer que le temps ou plutôt les temps possèdent une masse et quand, la particule va à l'intérieur de chacun des temps, elle laisse du fait de sa vitesse, une empreinte d'elle-même, ce qui donnerait l'impression qu'elle est en plusieurs endroits simultanément.
Les temps massifs et l'empreinte des particules.
1. Hypothèse de base
Le temps n'est pas une dimension unique, mais un ensemble de ( temps) distincts, chacun doté d'une masse propre. Lorsqu'une particule traverse ces temps, elle interagit avec chacun d'eux en laissant une empreinte liée à sa vitesse.
2. Conséquences physiques et quantiques
Superposition revisitée
Ce modèle expliquerait la présence simultanée apparente d'une particule en plusieurs lieux : chaque ( temps) conserve une trace de son passage, comme une mémoire inertielle.
Interaction masse-temps
si les temps ont une masse, ils pourraient générer un champ temporel analogue au champ gravitationnel. Une particule rapide interagirait plus intensément avec ce champ, laissant des empreintes plus marquées.
Mémoire quantique du temps
Chaque temps pourrait être vu comme un réservoir d'information : une sorte de mémoire quantique qui conserve les états passés. Cela évoque les théories de la décohérence, où l'environnement ( ici les temps) enregistre les états quantiques.
3. métaphore pour une meilleure compréhension.
Imaginez qu'un univers est un disque vinyle géant, tournant lentement dans l'espace.
Le sillon gravé sur sa surface représente l'empreinte du temps : chaque creux, chaque ondulation est une trace laissée par les particules qui l'ont traversé. Ces sillons ne sont pas figés: ils sont multiples, superposés, comme des couches de temps massifs et chaque particule grave sa propre mélodie dans le vinyle du réel.
La pointe du diamant : l'observateur
Lorsqu'un observateur approche, c'est comme si une pointe de diamant venait effleurer le disque. Ce contact sélectionne un sillon, une trajectoire, une empreinte parmi toutes celles possibles. Le diamant ne lit pas tout le disque - il choisit un seul instant, un seul temps, et ignore les autres.
Le son : l'expression du temps
Le son qui en sort, ce sont les phonons, les vibrations, les manifestations du temps lui-même. Ce son est la réalité mesurée, celle que nous percevons. Mais derrière ce son, des sillons non lus, des empreintes non mesurées - comme les états quantiques non observés.
Ce que nous révèle cette métaphore, l'information quantique n'est pas détruite, mais elle devient inaccessible pour l'observateur, dés lors qu'il en a pris une. La sienne , qu'il a choisit devient sa réalité, devient la réalité, les autres informations quantiques restent inaccessible pour celui-ci, pouvant croire qu'elles ont définitivement disparues, alors que ce n'est pas le cas.
Le processus du fonctionnement du temps à l'échelle quantique permet de mieux comprendre l'intrication quantique.
L'idée centrale
Deux particules intriquées ne seraient pas seulement liées par leurs états quantiques, mais aussi entrelacées dans un même segment temporel - un ( temps massif) partagé, porteur d'une mémoire commune.
1. Origine de l'intrication
L'intrication ne viendrait pas d'un simple échange d'information, mais dans un ancrage dans un même temps. Ce temps, doté d'une masse, conserverait une empreinte identique des deux particules au moment de leur création.
2. Action à distance expliquée
Lorsqu'une particule est mesurée, cela modifie son empreinte temporelle. Le temps massif, étant partagé, répercute cette modification sur l'autre particule, même à distance. Ce n'est pas une transmission instantanée, mais une réaction dans un champ temporel commun.
3. Mémoire temporelle
Le temps agirait comme un substrat quantique, capable de stocker et de synchroniser les états des particules. Cela expliquerait pourquoi l'intrication persiste même après séparation spatiale : la connexion est temporelle, pas spatial.
Ces nouveaux paramètres, permettent d'envisager la physique quantique grace à la masse temporelle, comme une science plus déterministe que probabiliste.
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