Le temps a une masse et la circulation photonique
La lumière rouge créée par des étoiles au fur et à mesure qu'elles s'éloignent les unes des autres où même les galaxies s'éloignant entre elles permettent d'envisager que l'effet redshift est un étirement dans l'espace de la lumière observée qui se décale vers les grandes longueurs d'ondes. Les raies spectrales de la lumière d'un astre vers l'extrémité rouge du spectre visible (les plus grandes longueurs d'onde). De même pour le Redshift Doppler causé par le mouvement propre d'un objet comme par exemple, une galaxie où une étoile qui s'éloigne de nous. On peut constater que même le Redshift Cosmologique qui s'applique pour les galaxies lointaines qui n'est pas lié aux mouvements propres des galaxies concernées dans l'espace, mais à l'expansion de l'univers lui-même, fait que l'étirement photonique vers le rouge, peut se comprendre par le frottement de la masse temporelle et lui-même. Le parcours des photons sur la base de l'étirement impliqué dans ce processus permet également d'expliquer que la densité de la masse temporelle, par rapport au parcours des photons, les condensant au prorata de la distance aux points lumineux que nous pouvons apercevoir fait que la contraction des points lumineux n'est pas un éparpillement photonique, car les informations intégrales sont révélées dans les images des télescopes qui montrent l'entièreté de zones cosmiques qu'ont peut constater dans les photographies de celles-ci.
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